Elève du peintre du roi de Pologne, Alexandre Thiele à Dresde, pendant trois ans, Dietrich effectue ensuite un voyage en Hollande, dont il revient en 1735. En 1737, il se rend à Weimar et à Braunschwerg, où il peint une crucifixion pour l’église de cette ville. De retour à Dresde en 1741, il est nommé peintre de cour du roi Auguste III. En 1743, il effectue un voyage d’études en Italie, passant par Venise et Rome. En 1748, il est nommé Inspecteur de la Galerie de Dresde et en 1764 Professeur à l’Académie des Beaux-Arts, il ne quittera plus Dresde jusqu’à sa mort.
On retrouve dans ses oeuvres l’écho de ces voyages puisque son style, très électrique, traduit aussi bien l’influence de Rembrandt et des maitres hollandais du XVIle siècle, que celle d’italiens comme Salvatore Rosa, Locatelli et de flamands italianisants tels que Berchem et Poelenburg.
Elève du peintre du roi de Pologne, Alexandre Thiele à Dresde, pendant trois ans, Dietrich effectue ensuite un voyage en Hollande, dont il revient en 1735. En 1737, il se rend à Weimar et à Braunschwerg, où il peint une crucifixion pour l’église de cette ville. De retour à Dresde en 1741, il est nommé peintre de cour du roi Auguste III. En 1743, il effectue un voyage d’études en Italie, passant par Venise et Rome. En 1748, il est nommé Inspecteur de la Galerie de Dresde et en 1764 Professeur à l’Académie des Beaux-Arts, il ne quittera plus Dresde jusqu’à sa mort.
On retrouve dans ses oeuvres l’écho de ces voyages puisque son style, très électrique, traduit aussi bien l’influence de Rembrandt et des maitres hollandais du XVIle siècle, que celle d’italiens comme Salvatore Rosa, Locatelli et de flamands italianisants tels que Berchem et Poelenburg.